Comme certains de vos collègues, vous pouvez :
- signer la pétition.
- refuser de signer à la remise des instructions de vote. Le ministère de l’éducation nationale va envoyer à chacun, entre le 22 et 28 septembre, une “notice de vote” donnant les informations pour voter par internet. Cette notice est remise en main propre contre émargement sur le lieu d’exercice.
Si vous ne voulez pas voter par internet, ou si vous souhaitez que l’on vous donne toutes les informations utiles par un autre moyen, vous n’avez pas à signer ce cahier d’émargement spécifique. Lien vers le site du ministère. - exiger l’ouverture d’un PV d’opérations électorales, par écrit (lettre remise en main propre, contre décharge, au chef d’établissement) afin que soit ouvert un procès-verbal de vote accessible à tous les électeurs permettant d’enregistrer leurs réclamations. Vous devez exiger que ce cahier de réclamation ait valeur de procès-verbal de l’élection et puisse être consulté par tous les candidats et électeurs durant les opérations électorales et durant la période post-électorale ouverte aux contestations.
- demander une dérogation pour exercer votre droit de vote par correspondance ou par vote à l’urne, en envoyant une lettre recommandée avec accusé de réception au recteur. Attention, si cette dérogation ne peut vous être accordée, vous risquez de ne pas pouvoir participer au vote.
- mais le plus important : adhérer à Ethique Citoyenne, afin de soutenir l’ensemble des actions qui revendiquent un vote observable et transparent, ainsi que les recours administratifs ou juridiques (il faut, par exemple, payer un avocat). Sans ces adhésions, il sera très difficile de se défendre juridiquement.
Pour nous tenir informé de vos actions, envoyer un courriel à en@ordinateurs-de-vote.org.
Pour faire connaître cette page, imprimer des flyers et les distribuer.
Vous pouvez également apporter votre témoignage sur cette page, ou en commentaire lorsque vous signez la pétition.
Voir aussi l’écho des médias, régulièrement actualisé.
A lire également, ces réflexions d’un enseignant de mathématiques en classes préparatoires, ancien chercheur en informatique. Il a notamment travaillé sur la question de la sûreté informatique (comment produire des logiciels sans bugs) et sur la sécurité informatique, en particulier sur la certification de protocoles cryptographiques.